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Mon avis voilier Feeling 1040 – Pourquoi je dis que ce bateau est parfait ?

Tout d’abord, je voulais vous informé que cet avis est propre à ma petite expérience. Il s’appuie aussi sur les retours des voisins de ponton qui parfois peuvent se prétendre « expert » et de magasines de renoms que j’ai pus consulté de la même époque. Cela n’engage que moi.

Ce monocoque voilier est l’héritage du savoir faire Français dans le boum économique des années 80’s du nautisme de plaisance. Je le trouve parfaitement idéal pour un couple ou une famille avec un enfant et un animal de compagnie à petit budget. C’est un bon compromis qui caractérise ce voilier. J’en retiens cela et je vais vous expliquer ensuite les raisons :

  • Budget maitrisable d’acquisition, d’entretien, de place de port ou d’usage au quotidien;
  • Sensation à la voile et navigation rapide même au moteur;
  • Confort en croisière, habitabilité avant-gardiste et merveilleuse vie à bord;
  • Patrimoine français de l’excellence de la plaisance des années 80 et influence direct du voilier aluminium Romanée du constructeur Povreau, plan mythique de Philippe Harlé des années 70’s destiné à la forte demande des Sailors DIY, constructeurs plaisanciers amateurs. Copier mais jamais égalé chez la concurrence européenne à l’époque.

Ce bateau est d’une ancienne génération certes avec son lot d’entretien qu’il faut prévoir au quotidien pour le garder dans un état correcte et navigable. Ce n’est pas un point négatif en soit, car être plaisancier c’est pour moi avoir cette passion d’entreprendre du temps pour le bricolage à porter de tous, être un touche à tout mais aussi une réflexion (ou un constat général) qu’il faut porter avant de s’acquitter de ce genre de bateau de cette génération. Il convient parfaitement à mon envie de bricoler et d’accessibilité de travaux en solo. Il ne requière pas de machine ou d’instrument sophistiqué pour le façonner à mon image. Il a une magnifique carène, confectionner avec des techniques en boiserie traditionnelle et éprouvé de l’époque sans aide de l’industrie informatique dont les menuiser eux même aimer travailler cet essence de bois. C’est en soit le summum de l’exemplarité type de « l’artisanat humaine à la Française » avant la production industrielle de rentabilité et d’informatique optimisé qu’à connus les années 90/2000. N’oublions pas que c’est une construction qui à 35 ans, un grand cru comme mon age 😉 ! J’ai appris à aimer cette génération qui est devenue mythique pour beaucoup dans le temps. Elle a marqué des générations de plaisanciers et emporte une vague de philosophie de plaisance par la même occasion. (On était loin de la surconsommation de maintenant…). Chronologiquement, je dirais que : *

  • Les années 70’s c’était les années de tests et de découverte à fortes demandes du particulier, je pense au mythique Jeanneau Melody en exemple de beau bateau 70’s Français ou bien Arpege chez Dufour et EDM ecume de mer chez Mallard ;
  • Alors que les années 80 dans la plaisance est la confirmation et l’expertise du savoir faire Made in Française. Copier dans tout les pays voisins mais jamais égalé !
  • Les générations de 90/2000 c’est l’époque de « crise économique européenne ».
  • Puis les années 2010 à 2020, une envie de consommer un bateau comme on use un camping car ou une maison secondaire…
  • Sans doute que cette nouvelle ère à partir de 2020, sera l’ère de l’ « eco-connerie irresponsable », une belle absurdité mondiale de surconssomateurs endettés…

BATEAU INTEMPOREL !

Le coup d’acquisition en occasion reste raisonnable (30k – 45 000€). Je suis convaincue que ce voilier est un bateau d’exception. Au regard de ce que fessait la concurrence à la même époque et avec mon recule !

En effet, c’est un bateau de renom, qui se permet même de se classer dans les voiliers de course/croisière. Avec un rating Osiris de 19 à 21.5 Groupe D, il permet encore de nos jours de faire de la régate de plaisance comme Jean-Luc VDH, grand coureur et marin expérimenté, l’explique sur cette video ou bien de naviguer en configuration grande croisière hauturière rapide et lointaine comme notre configuration actuelle. (« rapide » à toute proportion mesurée, n’allons pas comparer un Outremer multicoque dernière génération avec un Feeling de 40 ans hein ;)) On gagnera pas moins de 24milles nautiques sur une navigation de 24heures par rapport à un bateau acier en construction amateur de l’époque ou des bateaux confortables en gréement ketch mais lent comme Amel, les constructions ferrociment ou bien sur la base d’une configuration typée Fifty 50/50 voile/moteur Jeanneau Espace 1000, Evasion 34 de même taille, ou du Kirié Fifty du même constructeur. Bref, c’est un bateau de bonne qualité en Polyester et très bien équilibré à la voile. A comparaison, je pense que le Selection 37 de jeanneau était un concurrent car légèrement meilleur à la voile mais pas autant orienté confort/vie à bord. Il pourrait être exposé au problème d’osmose mais je ne rencontre pas cela (et qui de toute manière ne me dérange pas, mais c’est un autre sujet débat l’osmose…). Depuis quelques années, une communauté est bien actifs sur internet autour de l’engouement de ce voilier, le forum des Feeling1090 avec une base de données exceptionnelles. Le chantier Kirié avait eu le coup avant-gardiste sur ce modèle conceptuel avec un parfait équilibre sur l’eau. C’est bien cet argument qui a fait le buzz entre 85 et 88 dans les salons nautiques. Il est rare de voir un bateau de cette époque (80’s) avec une Jupe arrière, un intérieur lumineux en boiserie claire (bois noble de menuiserie le bois d’Orme qui a disparu car fragile à la culture et donc onéreux à l’achat), de l’espace bien optimisé pour notre confort comme le coin cuisine extrêmement bien desservie en configuration en U puis taillé pour naviguer à la voile par tout temps avec un gréement de performance.

Comme je le dis régulièrement, le plus important sur un voilier d’occasion de plus de 20 ans, c’est l’état du moteur ! Nous avons la chance d’avoir un refit moteur Volvo datant de 2014 avec seulement 250hrs, donc ce problème qui me semble majeur pour des bateaux d’occasions n’est plus un inconvenant pour moi et c’est en partie, ce qui à fait que nous l’avons choisi (au delà du prix acheté en Occasion bien évidement) – La sécurité de nous ramener au port ! Car à l’époque, je n’en connaissais pas autant en nautique et mes priorités était surtout le cout générale d’entretien et d’acquisition d’un bateau de cabotage et de seconde résidence. Mais quelle chance que j’ai eu avec ce bateau !! Ce que j’aime maintenant c’est ce regard que les plaisanciers, voire même les « loup de mer », ont en écoutant ma réponse quand il me demande mon usage générale que j’ai avec ce bateau. Et bien je leur répond que « je navigue toute l’année et je me rends disponibles pour son entretien quotidien. » 🙂 J’ai plusieurs expériences ou les marinas et professionnels t’aident simplement par ce qui on compris que j’ai un bateau dont j’en prends soin et que ma curiosité est vraiment très bien accueillie voire même ne me fait pas perdre beaucoup d’argent mais peut par moment m’en faire gagner… Juste parce que j’ai « acheté » un Feeling 1040 ! C’est vraiment portée une philosophie complète avec ce bateau que je suis plutôt fier de mettre en avant au quotidien.

Le carré est spacieux et lumineux à toute saison, la table à manger est pratique pour s’installer à 6 ou 7, le cockpit est rassurant en navigation, la cuisine est confortable mais les couchettes ne sont pas en format kingsize contrairement à une version 2 cabines, la cabine salle de bain toilette est étroite pour des personnes de « belle corpulence » – C’est à mon sens la seule vraie différence avec la version propriétaire 2 cabines et la version 3 cabines que je retiens après visite des bateaux copains.

A mon gout, il me manque d’équipets mais ce dernier point est tout à fait ajustable et « normal » du fait que ce bateau est destiné à aller vite sur l’eau donc il faut faire attention à son armement. Il est parfaitement bien équilibré entre 10 nds et 20 nds dans toutes les allures (remonte jusqu’à 30° au pré AWA). A partir de 20 nds TWS, je trouve que ce bateau est rassurant aux allures de largues mais qu’en méditerranée, avec les vagues de vent, au pré et de travers il est inconfortable (Comme tout les bateaux). La méditerranée est un bassin de navigation très particulier, rare sont les bateaux et plaisanciers qui ne sont pas mal mener ici pour ces raisons… A vrai dire seul certains Catamarans légers apprivoisent bien le fort vent de travers de la méditerranée…

Concernant le Gréement, modifié sur notre version avec un Pataras en patte doigt et une bôme enrouleur Profurl, il devient un excellent compromis Croisière confort. En effet, il n’y a plus besoin de réglage de hale-bas de GV, de prise de ris ou de Balancine. Nous avons beaucoup moins de manœuvres mais ce genre de configuration sur un bateau caravane (Fifty), ne permet pas de dire que l’on perd vraiment en performance ni mème par l’enrouleur de Génois car ce dernier à une très grande superficie. Je rappel que dans le contexte des années 1980-90, les performances étaient vraiment mis en avant et seul le Jeanneau Selection 37, figure emblématique des courses du Tour de France pour ses performances incroyable, était un voilier pour la régate sportive au détriment du confort en taille 10-11m. Le faussé entre notre bateau et le Selection 37 est immense en configuration croisière familiale, beaucoup de propriétaires de S37 restent sur le quai à cause de son coté inconfortable avec leur famille. Bon bien évidement, en mode régate et course (carène avec des pointes de vitesse à 15nds), c’est la ou le Selection 37 fera le bonheur de l’équipage. Bref, ce jeanneau est sous-coté sur le marché de l’occasion car la clientèle familiale marin de sensation est rare. Revenons à Kirié !

Encore une fois, je veux choisir un bon compromis entre Confort et Navigation tout en ayant un budget raisonnable sur du long terme. En plus récent, j’ai noté le Dufour Classic 35 ou le Bavaria 34 GTE qui semble être une équivalence en performance du débuts des années 2000. Et en version beaucoup plus accessible, il existe par exemple le Hunter 34 de 1986 dont le moteur semble sous dimensionner (22cv) et donc l’habitabilité est encore avec un regard des années 70s. Il en as 1 de disponible en occasion à 15 000€ dans un bon etat ! Ou bien le Contessa 34 OOD qui lui ressemble à un Romanée en Polyester donc avec une âme des années 70s comme le grand frère du feeling.

Un bateau qui me semble à prix correcte est le First 35s5 héritage de Bénéteau mais celui-ci vieilli mal, tout ceux que j’ai visité ont eu un énorme travail de refit intérieur et l’extérieur me parait trop simpliste dans ses formes, conception Polyester sans vaigrage au plafond. Nous sommes pas sur une gamme « premium » mais plutôt standard, destinée aux charters des années 90’s donc logique qu’il soit légèrement moins chère en occasion. Les performances sont identiques.

Jetez un oeil aussi sur le Gib’Sea 362 / Sigma 362 / HALLBERG RASSY 34 dont les performances/confort semble similaire sans la signature Made in France.

Le voilier Grand Soleil 35 est un monocoque habitable dit de croisière, construit par le chantier italien Cantiere Del Pardo. Ce voilier réalisé par l’architecte naval Alain Jézéquel, mesure approximativement la même chose que notre Feeling (il entre dans le même rating Osiris). La production a démarré en 1983 et s’est vite terminée en 1986. Il est vraiment comparable au Feeling 1090 mais au delà du fait qu’il est dans la tranche des 11m (Donc problématique du budget de place dans les marinas à revoir…) et de sa configuration intérieure orienté légèrement plus régate avec une perte de largeur des couchettes arrières et de sa cuisine inconfortable en navigation. Il semble plus lourd, peut être à son avantage qu’il soit plus épais sur la coque donc légèrement plus robuste…

Enfin pour continuer à regarder ce qui se fait à l’époque et à l’étranger, l’immense chaine youtube de l’anglais Erik Aanderaa https://www.youtube.com/@ErikAanderaa avec son voilier Tessie Contest Yacht 35, ou l’intérieur est vraiment sombre et froid est destiné à une clientèle au grand nord Atlantique avec un déplacement de 2000kgs supplémentaire lié entre autre à l’épaisseur sur dimensionner des parois tout comme le Soleada 35, espagnole considéré comme le croiseur rapide qui lui me semble un poil moins haut de gamme dans ses finitions que notre bateau mais la je chipote clairement… Le Granada 35 du chantier Nordic Swedish, qui me parait proche de notre bateau même si ce dernier manque de largeur à l’arrière à la poupe dans sa cabine et sa carène est légèrement plus refermée donc moins bonne performance au largue. Récemment on m’a parlé aussi d’une alternative avec un construction Belge, édition limitée de la même époque avec quelques avantages et inconvenant de mémoire (Tiran d’eau avantageuse mais poids générale plus lourd, lenteur)…

J’ai aussi comparé à des bateaux équivalent de conceptions et d’esprit de design légèrement plus anciennes (fin 70, début 80) comme le Beneteau Idylle 1050 (1985) ou le jeanneau Melody (76 – 82) ou bien le Dufour 35 qui ont des carènes plus fines, moins large donc, Ils sont moins confortables à la gîte par tout temps. Car cette époque en pleine révolution, les bateaux devenaient des sujets pour démocratiser le nautisme pour tous donc restant dans l’esprit marin bourlingueur et non de grande plaisance comme mon état d’esprit. Ceci dit, cela reste des bateaux de renoms en France et trouvable a prix très intéressant en occasion (et à la pèle !). Cette différence de confort est amplifiée en méditerranée avec les vagues de vent qui démontre ce que peut être l’avantage d’un bon ratio longueur hors tour / maitre bau des monocoques de 10 mètres.

En plus récent, avec un budget légèrement revus à la hausse, je pense que les feeling 36 pieds (génération 90 du 1090, même coque) peuvent être comparés à du jeanneau Sun odyssey 35 ou bien le Dufour 35 Classic plus récent. Quant au SunFizz, 37pieds, de la même époque est lui dans la gamme des +12m. Tout cela se joue à un budget global d’achat supplémentaire entre 5 000€ et 10k€ et bien évidement 500€ supplémentaire annuellement avec des tranches de forfait marina revue à la hausse… Un autre avantage est que les marinas de nos jours veulent facturées au m² la superficie occupé dans les emplacements par votre bateau, de ce constat, un vieux bateau des années 80’s coutera toujours moins chère que les bateaux des années 2000 ou la mode était d’élargir au maximum la proue pour un maximum de confort dans le cockpit arrière, à la jupe pour la baignade et dans les cabines arrières.

Revenons à notre feeling, La position du rail de l’écoute GV à la descente de cockpit et des winchs Selfteling sont typées pour une configuration sportifs à genoux (il faut être souple) mais c’est aussi un gage de sécurité lorsque le vent forci, nous pouvons rapidement lâcher de l’écoute de GV pour moins de force de gite et donc un meilleur équilibre de la coque ou bien être en équilibre nous même lors des manœuvres de winch d’écoute de génois ou de spi. Sur la version roof panoramique – que je n’apprécie pas-, avec des grands hublots avant non ouvrants, beaucoup se plaignent du raguage du cordage au pied du mat car ils sont trop inclinés et de leur étanchéité, ce qui n’est pas notre cas ainsi que de l’espace étroit de la partie avant du carré puis de l’espace de la cabine avant. Toutes les manœuvres des Feeling peuvent être reprises au cockpit, ce dernier point est encore une fois rassurant.

Par navigation hauturière de nuit, le fait de pouvoir se positionner assis dans la descente et de voir à 360° au travers de la capote du roof panoramique est vraiment un confort, peu de gîte, pas de tangage, nous sommes sur le point pivot de la coque même au moteur, le ronronnement du Volvo est calme à cet endroit ! et nous profitons du flux de température qui s’installe à cette zone (chaud en hiver lié au moteur et au chauffage – Froid en été lié à la bonne prise au vent des hublots et de la capote de roof). Le petit plus c’est l’accès à portée de doigts aux instruments de navigation au dessus de la descente.

Le top reste la place du cockpit pour les apéros, (Oui c’est aussi un bateau Apéro – Et même qu’il est possible de se coucher directement sur le cockpit en cas d’abus d’élixir !) qui peut accueillir 4 à 5 convives avec une table au milieu ou en cas de navigation en veille lors d’un quart de nuit. à Trois on ne se marche pas dessus pour manger. Le cockpit est rassurant, vous y êtes caler à la gite. La jupe arrière est suffisamment large et profonde pour se baigner ou s’amarrer cul au ponton même si il est vrai qu’il n’est pas très pratique d’enjamber la jupe. La taille du bateau est parfaite pour des nuits économiques en escale dans les ports méditerranéens ainsi que son tiran d’eau est acceptable car standard (1m90). Il est parfaitement bien équilibré ! Et oui, le cout d’une nuit peut vite montée en plein été, par rapport au frere le 1090, nous gagnons de 3 à 5€ par nuit en escale car nous sommes sur la tranche des 9m50-10m50 et non la tranche des 11m !

L’ambiance couleur miel intérieure est exceptionnelle ainsi que le façonnage de la structure des œuvres bois. A l’inverse des bateaux modernes qui « respire » des échos de plastic et de feuille calfeutrage imitation bois au toucher simili avec des découpes à la machine industrielle… Le pont en sifflet est a mon avis le plus utile en méditerranée car il permet une bonne ventilation par beau temps (>+20°c), l’hublot à l’avant uniquement présent sur la version sifflet, s’ouvre face au vent et ne fait pas d’effet serre en plein été comme sur la version roof panoramique du 1090 ou du Bénéteau Oceanis 350 de la même génération. Cette version 1040 3 cabines inclus un hublot supplémentaire très important pour la fluidité de l’aire. La luminosité est parfaite, le matin, nous nous réveillons en douceur avec le soleil ou en pleine journée. Un autre point négatif sur notre bateau est l’impossibilité d’utiliser les cales pour le stockage car trop petite en hauteur, c’est qui caractérise aussi l’avancement des aménagements des années 2000 avec des caves à vins présente au fond de la cale. La table à carte n’est pas dans le sens de marche mais de nos jours, avec l’arrivé des mobiles et tablettes, dite moi qui n’utilise pas Navionics dans le cockpit ?!? Je ne consulte que rarement la table à carte en navigation, d’autan que j’ai installé un écran déporté et que je ne consulte plus du tout mes cartes marines papiers.

Maintenant, avec mon recule, je partirais, à l’heure ou j’écris cet article, sur la même taille de bateau (10-12m max) pour des raisons économiques et pratique de bricolage, avec le même ratio longueur/largeur. Mais je regarde pour un bateau avec une poupe plus large pour le confort des cabines arrières et avec un gréement sloop fractionné pour la mise en place d’un foc moins grand et un bout extérieur pour un Code D/0 sur enmagasineur et d’une GrandVoile Enroulée dans le mat pour limiter les manœuvres (pas de ris). Par contre ce genre de bateau, se trouve à prix beaucoup plus élevés sur le marché de l’occasion (65 – 80 k€) vue que cette demande a était mise en place qu’à partir des années 2000…

Mon coup de cœur pour un futur bateau serait sans doute les 416 Feeling, Jeanneau Voyager 12.50 (ou plus récent de même coque Sun Odyssey 42), Dufour 385 Grand Large ou bien le Bénéteau 411 Oceanis Clipper mais bon la nous parlons d’un budget double ou triple une fois réfit à mon goût !